Le sang des multitude
Les nuits à la station patagonienne étaient glaciales, chargées de vacarme et d’une date bleutée venue d’étoiles excessivement proches. Sayen se tenait souvent devant les fenêtres panoramiques du laboratoire, empruntant la voie de la voûte paradisiaque à savoir si elle s’adressait aussitôt à lui. Chaque groupe avait sa tonalité, sa